Ce parti se veut radical. Cela ne signifie pas être comme les partis extrèmistes, qui pronent l’intolérance et réagissent violemment sans chercher à comprendre.
Depuis longtemps, nous savons qu’il faut changer les choses, simplement parce que notre société actuelle ne va pas bien. Et cela fait aussi longtemps que les derniers gouvernements (de gauche c de droite) auraient du changer radicalement les choses. Mais ils n’osent pas , pensant qu’on peut régler le problème « en surface ».
Le MLC s’est créé justement parce que les gvrts refusaient de voir la réalité (c peut être eux les « utopiques », croire que tout va s’arranger sans changer radicalement les choses).
D’entrée, il a su voir les principaux problèmes actuels, tel que le communautarisme, qui semble être la principale cause des évènements dont on parle.
Le gvrnt a attendu que tout explose pour soit disant se bouger. Le MLC a su voir le problème avant qu’il n’explose ; peut être pourrait on utiliser ce slogan afin de monter aux gens que ce parti n’existe pas pour rien, qu’il peut changer les choses.
Je pense à la proposition de Simon et Monib à propos du privé. Jérome a dit que cette mesure était « peut être un peu trop radicale ». C’est vrai qu’elle est radicale, mais peut être qu’au moins, elle réduira vraiment les inégalités. Je ne parle pas que pour cet exemple mais pour un cas plus général.
Ce qui serait radical, se serait de juste prendre des mesures « gentilles ».
En gros, je crois qu’il ne faut pas avoir peur de mettre fin au privé ds le primaire et le secondaire ; et œuvrer pour que les établissements publics offrent tous une chance égal aux jeunes, à tous les jeunes.
Garder le privé sous-contrat et pousser le hors contrat à devenir sous-contrat semble être aussi une bonne solution.
Ds mon cas personnel je connais des écoles (pour le supérieur) privées sous contrat.
D’une elles offrent des formations équivalentes au public et de 2, elles ne sont pas très chères (comparé au hors contrat). Bien sur, je ne sais pas si cela s’applique à toutes les écoles. Mais en tout cas , l’aide financière que proposait Jérome pour que les + pauvres entrent ds le privé ne s’averrerait pas ruineuse.
Qd on est enfant, on nous présente l’école comme le lieu où on apprend un métier, alors que c’est ds le supérieur (ou ds les lycées professionnels) que l’on apprend un métier. Notre système éducatif est trop basé sur la « peur de l’échec ». Ce qu’on nous dit, c’est que si on est pas bon au collège, on est fichu pour la suite.
Alors que c’est faux.
Le primaire et le secondaire doivent avant tout être des lieux où on doit apprendre un capital culturel commun (et ce n’est pas le cas actuellement).
Ce K culturel indispensable, les classes aisée (ou moyennes aisées) l’ont. Mais elles l’ont acquéries chez eux, à travers leur entourage, mais pas à l’école. Bien sur , on peut etre d’une famille modeste et avoir ce K, mais c’est souvent du à des circonstances qui ne sont pas données à tout le monde. Par exemple, certaines personnes de famille modeste ont ce K culturel car elles cotoient des personnes + aisées.
Mais pour les classes pauvres ne cotoyant pas ce monde là,(ce qui est le cas des cités), c’est mission impossible d’obtenir ce K.
La TV, qui pourraient jouer un role ds cette socialisation par la culture, puisque elle aujourd’hui accessible à toutes les classes, accentue au contraire toute cette violence.
Le JT de TF1 à par exemple dit que « les 2 jeunes électrocutés s’étaient fait courser par les flics », ce qui est faux. C’est aussi à travers ce JT (ou m^ d’autres) que ces casseurs ont vu tous les propos dégueulasses de Sarko.
Bon, désolé, je m’égare complètement ds le sujet…