D'une part je pense que la réflexion de Guillaume est assez juste, et d'autre part je ne VEUX pas collaborer avec le libéralisme, mais c'est que je, comme quasiment tout le monde aujourd'hui, ne PEUX pas faire avec un autre système, alors plutot que lutter veinement je préfère tenter de l'améliorer, et ça ne peut pas être considéré comme de la collaboration, au sens péjoratif du terme j'entends.
bien sur que pas mal de personnes sont contre le système libéral (et entre nous ça m'étonnerais qu'il y en ai 20% en france, d'ailleurs d'où sort tu ce chiffre?), et les autres soulèvements se passent dans les pays qui sont complètement exploité (beaucoup par les USA) et qui sont dans une misère noire. Ce n'est pas le cas de la frnce, dieu merci, alors prends des exemples concrets en rapport et qui sont à peu près équivalent.
je dis que tu as raison, mais cette raison n'est le fruit que d'un rêve, d'une utopie, et bien que j'aimerais pouvoir te dire que je te soutiens, la réalité concrète me pousse à dire le contreaire car on ne peut pas vivre dans ces rêves, et donc plutot que de vivre dans unrêve magnifique qui te perdras un jour ou l'autre, je préfère vivre dans un système pas terrible et tenté de l'amélioré, et si tout le monde faisait pareil, et bien le libéralisme serait moins dur à supporter.
Dis moi, tu parles du libéralisme comme système qui exploit l'Homme. Bien sur que je ne peux pas te contredire, mais trouve moi un seul exemple concret qui a déjà existé où le système n'exploitait pas l'Homme? A ma connsaissance il n'y en a aucun, et même si le libéralisme pousse ce phénomène à son "paroxysme", je veux justement l'amélioré pour diminuer cette tendance et rendre ce système plus humain.
Pour finir, je ne me soumet pas à un libéralisme putride, mais contrairement à toi, je réfléchis à une alternative d'améliorer un système qu'on ne peut changer tellement il s'est ancré dans la société en exploitant les vices mêmes de l'Homme, et de tous les Hommes, donc ils s'y complaisent dans un certains sens, et c'est pour cela qu'on ne peut le changer.